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lundi 18 avril 2016

Dossier X Enquête dans le monde des snuff movies.


DOSSIER X

Enquête dans le monde
des snuff movies.
Par Samuel DEGREMONT

C’est le titre du projet de documentaire produit par IMAVISION Productions, une jeune société de production (créée en septembre 2000) qui a déjà à son actif la réalisation de plusieurs courts-métrages et documentaires, ainsi que des films institutionnels (ces derniers destinés à financer l’activité de création de la production !).

L’objectif de la série d’articles que vous allez lire périodiquement sur Objectif Cinéma est de montrer le travail de production et de réalisation d’un documentaire " vu de l’intérieur ", c’est-à-dire décrit par les gens qui le conçoivent : le producteur, le réalisateur, l’équipe technique. Ou par quels chemins passer pour monter un projet… Ou ne pas le monter !

Ce feuilleton décrira les multiples étapes et difficultés de montage du projet telles qu’elles ont été vécues par l’équipe d’IMAVISION dans les semaines qui précèdent la publication. Du quasi-temps réel : un documentaire écrit sur un documentaire en cours de tournage !

Dernier but envisagé, l’interaction avec les internautes d’objectif-cinema.com : Que pensez-vous du projet, pourquoi, quelles idées avez-vous pour améliorer tel ou tel point...


GENESE D’UN PROJET
Qui est à la base du projet et la découverte des bobines 8mm.
NAISSANCE DU DOSSIER X
De l’idée, à l’écriture d’un scénario de documentaire sur le pouvoir des images.
STRATEGIE
Choix technique et de financement avant le début du tournage du documentaire.
PROVENANCE DES IMAGES
Le mystère.
TRADUCTION
Premiers indices.
IDENTIFICTION
Premières précisions.

Dossier X NOUVELLE DU PROJET.

Depuis notre dernière livraison pour Objectif Cinéma, le projet X a avancé sur trois fronts : recherche de financement pour le projet, gestion quotidienne du projet et tournage des interviews.

Le premier front est encore d’actualité : nous poursuivons les discussions avec différents diffuseurs susceptibles de financer le dossier X.

La gestion quotidienne du projet consiste principalement à préparer les différentes interviews : prise de contact, disponibilité du matériel et de l’équipe, coordination… puis, lorsque l’interview est réalisée, à en assurer le montage, l’indexation, la mise en place sur le site et la réalisation d’une newsletter spéciale afin d’informer les internautes de la mise à jour.

En parallèle, l’équipe suit l’évolution du trafic sur le site et réalise la modération du forum du site.


Quelques règles de modération…

Le forum du site n’est pas modéré, il ne subit donc aucune pré-lecture d’autorisation. Un seul « débordement » du forum a été constaté à ce jour, par un internaute dont le message a été retiré.

La lecture du forum permet de prendre conscience des questions que se posent les internautes à propos de la démarche d’ Erreur ! Signet non défini. et, plus généralement, donne lieu à une réflexion parallèle sur la violence.

Concernant notre démarche, certains internautes soulignent l’absurdité de procéder à une enquête portant sur des disparues des années 70, d’autres font le rapprochement avec le film 8mm avec Nicolas Cage. D’autres enfin nous accusent de tomber dans les travers que nous voulons dénoncer : racolage actif sur le site (désormais interdit par la loi Sarkozy), esthétisation de la violence montrée de manière gratuite afin de faire naître un intérêt « voyeur » chez l’internaute. Certains internautes proposent aussi des pistes de recherche qui alimentent notre réflexion.

Nous répondons à chaque message posté sur le forum pour faire naître un dialogue et mieux expliquer notre position vis-à-vis du sujet de notre documentaire. Le seul message supprimé à ce jour était exagérément injurieux à l’encontre du projet, et surtout à l’encontre de personnalités connues, extérieures au projet. N’appelant aucune réponse, il a été simplement archivé et supprimé du forum.

REALISATION DES INTERVIEWS
Les premiers développements de l’enquête.

PROVENANCE DES IMAGES - LE MYSTERE

Première interview réalisée le 03/10/2002 en région parisienne
Durée 60 minutes



  Brocanteur de Saint Germain la Campagne
Nous avons remonté la piste du brocanteur de Saint Germain la Campagne, en espérant pouvoir y découvrir un indice, un détail qui nous aurait permis d’avancer.

Malheureusement, le brocanteur s’est avéré incapable de nous dire d’où proviennent les sept bobines. Il achète un peu partout des lots hétéroclites dans lesquels on trouve tout et n’importe quoi (du vieux meuble au vieux jouet). Il ne tient aucun registre précis décrivant ce que contiennent ces lots et d’où ils viennent.

Lorsqu’il tombe sur des bobines de films, il les regroupe, sans les visionner.  Il n’aime pas fouiller dans la vie des gens…

Le jour où Antonio a acheté au brocanteur les sept bobines, celui-ci lui a indiqué qu’il en avait un stock important dans son dépôt, près de Paris. Antonio avait donc son numéro de téléphone personnel.

Lorsque nous l’avons recontacté, après avoir découvert les images, nous ne lui avons pas expliqué le but précis de notre visite. Il n’était pas au courant du contenu des sept bobines. L’interview s’est ensuite déroulée en trois temps :

- Il a d’abord fait une description de son travail, de ses motivations. Nos questions se sont ensuite concentrées sur les bobines super 8. Où les récupère-t-il d’habitude ? Est-il au courant de leur contenu ?

- Nous lui faisons voir les sept bobines super 8 en intégralité. Nous enregistrons ses réactions. Il dissimule mal son malaise. Au départ, il ne comprend pas le but de notre visite et cherche à détendre l’atmosphère. Au fil de la montée de la violence, il cherche alors à se disculper, à prouver qu’il n’est pas l’auteur des images. A la septième bobine, il reste silencieux, regarde les images défiler.

- Nous récoltons ses réflexions et nous lui annonçons le véritable but de notre visite et de notre enquête.

Un dérushage complet de cette séquence a été réalisé. Nous en publions un extrait au format Real sur le site (voir)
(Site fermer depuis)...
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Dossier X GENESE D’UN PROJET.

GENESE D’UN PROJET


Qui est à la base du projet

Grégoire Saint Jorre
Il a écrit et réalisé plusieurs courts-métrages et documentaires ( Ligne 6, LK 5, Warsaï ). Il a également été régisseur général sur de nombreux films de fiction et des publicités. Il est producteur du Dossier X, et gérant d’Imavision Productions.

Antonio Rodrigues
Il a écrit et réalisé plusieurs documentaires ( Maurice Patry " Une vie en quête de rêve " / Voyage au Bout de la Pomme). Antonio a, parmi d’autres projets, la réalisation d’un film de montage, une fiction basée sur des images tournée en Super 8 et achetées au hasard : films de famille, de vacances, mariages, baptêmes etc.

Découverte des bobines



Au début du mois d’août 2001, Antonio Rodrigues a acheté sept bobines super 8 muettes, à Saint Germain la Campagne, en Normandie, lors d’une " Foire à Tout ", chez un brocanteur.

Leur contenu est très perturbant. Il s’agit de 7 bobines, d’environ 3 minutes chacune, dans lesquelles sont filmées des jeunes femmes. Certaines sont dénudées, parfois attachées. On assiste à plusieurs tentatives de viol et l’une des bobines montre même une femme étranglée.

Au-delà des images abominables et extrêmement réalistes de viol et de strangulation, l’auteur de ces films fait preuve d’une violence qui va crescendo. On passe d’une simple prise de vue érotique, au viol puis au meurtre. Cela ressemble à un parcours initiatique, à un plongeon progressif dans la perversion.


NAISSANCE DU DOSSIER X 


Les bobines ont été stockées par Antonio, puis numérisées en mars - avril 2002. Après visualisation des images, il décide de les montrer à Grégoire Saint Jorre, pour avis.


Les premières questions que se posent Grégoire et Antonio sont les suivantes : qui sont ces femmes ? Qui les a filmées ? Pourquoi ?

Imavision rachète les images. Grégoire et Antonio décident ensemble de monter un projet de film documentaire autour de ces sept bobines.

Raisons du projet


Des images de cul, des images de viol ou de mort font partie intégrante de la vie du téléspectateur moyen dont la télé n’a souvent plus que 2 chaînes : TF1 et M6. " Un projet de documentaire sur un sujet racoleur ", c’est la réflexion spontanée des gens qui ont connaissance du projet. En réalité, le projet de documentaire d’IMAVISION est autre chose qu’une simple suggestion vulgaire calibrée pour le spectateur moyen.

L’enquête que nous menons utilise les bobines retrouvées comme un prétexte, un support permettant la construction d’un discours critique sur le pouvoir des images, et sur les raisons profondes de l’attrait du spectateur pour ce type d’images et l’excitation qu’il leur procure.

Il ne s’agit pas de dénoncer une chaîne de TV ou une campagne de pub, qui délivre un message répondant aux attentes des spectateurs, mais au contraire de montrer quels sont les instincts des spectateurs. Une prise de conscience ?

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Dossier X STRATEGIES.

Quel format pour le documentaire ?

Nous souhaitons tourner le documentaire en format Bétacam Numérique ou HD-cam.
Les images super 8 auxquelles notre œil n’est plus vraiment habitué (format et qualité) seront opposées aux images larges et de qualité numérique qui abondent actuellement sur tous les écrans. Les images de l’ensemble du documentaire plongeront notre œil tantôt vers le passé, et tantôt vers le présent des images cinématographiques.

Le financement

L’estimation globale des coûts du projet est de l’ordre de 300 000 à 350 000 euros, incluant la post-production et le montage du film, ainsi que le temps déjà passé. La recherche d’un co-financement du projet doit permettre à IMAVISION de ne pas réaliser seul l’investissement financier nécessaire à sa réalisation.

Nous avons choisi de nous adresser à des diffuseurs, afin d’obtenir un complément de fonds sans subir un contrôle trop dirigiste du projet (ce qui serait le cas pour une co-production). L’accord de principe d’un diffuseur nous permettrait de demander et d’obtenir une subvention du CNC (Centre National de la Cinématographie).

Au-delà d’un financement, l’accord d’un diffuseur garantirait la diffusion ultérieure du documentaire, ce qui nous intéresse évidemment : la diffusion permettrait la reconnaissance du travail réalisé, et donnerait une exposition bien supérieure aux images, facilitant l’identification des personnes présentes sur les films Super 8 si elles ne sont pas identifiées pendant le tournage.

Comment vendre le projet Dossier X ?

La problématique est simple : trouver un diffuseur, et identifier les jeunes femmes des films Super 8.

Contact Diffuseurs : Après avoir établi la liste des diffuseurs potentiels (chaînes hertziennes et câblées, spécialistes du documentaire ou non), et conscients du potentiel du projet en terme d’image et d’actualité, nous décidons de réaliser un teasing des diffuseurs, plutôt que de leur envoyer directement notre dossier.

Ce teasing est réalisé sur 6 semaines, par l’envoi hebdomadaire de la photo d’une des jeunes filles, envoyée dans une enveloppe sans mention de l’expéditeur de l’envoi. Le 6ème envoi est accompagné du dossier complet présentant le projet.

Cela nous permet de déclencher un intérêt immédiat lors de l’arrivée du dossier chez le diffuseur, de permettre au projet de " surnager " par rapport aux autres projets en attente chez le diffuseur.

Contact Grand Public : L’appel au grand public se fait par l’intermédiaire d’un site web spécialement créé pour l’occasion. Ce site, visible à l’adresse http://x.imavision.fr, permet de montrer des extraits des bandes Super 8, de suivre l’enquête que nous menons, et les interviews que nous réalisons.

Le " look " du site est sciemment racoleur. Nous souhaitons provoquer une réaction chez l’internaute. Un site plus sobre aurait moins de chance d’atteindre cet objectif. Surtout, il n’aurait pas permis de créer le phénomène de bouche-à-oreille qui reste notre meilleur atout : plus notre site draine des internautes, plus nous avons de chance de retrouver un jour l’une de ces jeunes femmes. Il faut que la rumeur continue à grossir.

L e site, par son côté provocateur, situe aussi le projet d’un point de vue marketing, dans une direction " voyeurisme  - trash - TF1 " , comme l’ont signalé parfois violemment des internautes sur le forum du site. C’est cependant un mal nécessaire pour crédibiliser le projet, notamment vis-à-vis des diffuseurs.


La gestion des contacts

À ce jour, les quelques contacts que nous avons eu chez les diffuseurs sont négatifs : " problème de sujet, de format, le produit ne rentre pas dans les cases … ". D’autres contacts sont en cours. Les contacts engendrés par le site sont davantage des contacts grand public, voulant davantage d’infos sur le projet ou la production.

Le tournage

Le tournage a déjà commencé. Identification des interviewés, contacts avec eux, prise de rendez-vous, préparation des rendez-vous, mise en place de la " machinerie " de tournage, réalisation des interviews… de nombreuses étapes sont nécessaires !

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Dossier X TRADUCTION - PREMIERS INDICES.

Interview réalisée le 15/10/2002 à Paris
Durée 70 minutes


BUCODES
Les films super 8 étant muets, nous souhaitons pouvoir analyser les mots prononcés par les jeunes femmes. Cela peut nous apporter un indice crucial.

La lecture labiale est un exercice difficile et fatiguant, qui demande un effort de concentration permanent ; le résultat est un mélange d’analyse des mouvements des lèvres et de déduction en rapport avec la situation. C’est à ce titre un travail intuitif et parfois aléatoire. C’est la raison qui nous a poussé à rencontrer plusieurs traducteurs.

Un premier travail de traduction a été effectué par les membres de l’Association BUCODES (Bureau de Coordination des Associations de Devenus Sourds et Malentendants).

Nous avons pris contact avec eux grâce à une recherche lancée sur Internet. Une association de sourds et malentendants nous a aiguillé sur cette association. En effet, la lecture labiale est surtout pratiquée par les devenus sourds. Les sourds de naissance préférant le langage des signes.

Les deux traductrices ayant chacune plus de soixante-dix ans, nous étions assez gênés de leur montrer ces images. Cependant, elles ont réalisé un travail professionnel sans jamais porter de jugement sur ces jeunes femmes.

Leur travail de lecture labiale a essentiellement porté sur les bobines 1 et 2 :
- La jeune femme assise sur un banc.
- La jeune femme du café.

En effet, c’est sur ces deux bobines que les jeunes femmes parlent le plus avec la personne qui tient la caméra.

Il se dégage de ces discussions les éléments suivants :

  BUCODES
- L’homme parle d’un film sur lequel il travaille. Il semble proposer à ces jeunes femmes un rôle et souhaite organiser avec elles un essai. Il essaye ensuite de tester les limites de chacune d’elles en leur demandant de prendre des poses érotiques.

- Les jeunes femmes ne connaissent pas cet homme, elles le vouvoient. Elles ne sont pourtant pas particulièrement effrayées. Cela implique qu’il doit savoir les mettre en confiance, par sa manière de parler, son humour, son physique et son comportement.

Un dérushage complet de cette séquence a été réalisé. Nous en publions un extrait au format Real sur le site (voir) (Site fermer)

TRADUCTION - INDICES SUPPLEMENTAIRES

Interview réalisée le 18/10/2002 à Paris
Durée 70 minutes

Nous avons ensuite été contacté par une jeune femme, Anne G., sourde de naissance, mais qui a toujours pratiqué la lecture labiale. Sa manière de procéder est assez différente de celle employée par les traductrices de BUCODES. Elle est fondée sur une approche comportementale globale de l’individu. Les mouvements des lèvres, des yeux, du corps sont autant d’indications qui donnent un sens au travail de lecture labiale.

Cette traduction a permis de confirmer certaines des phrases décryptées par la traduction de BUCODES, de donner des indices intéressants sur l’état d’esprit des jeunes femmes et sur la personne qui filme. La traductrice a ainsi plusieurs fois décelé des attitudes de peur chez les jeunes femmes, des regards interrogateurs. La jeune femme sur la septième bobine ne parle pas forcément français.

Autant d’indices à vérifier dans notre enquête.

Un tableau complet du travail de traduction a été réalisé. Nous en publions un extrait sur le site (voir). (Site fermer)

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Dossier X IDENTIFICATION - PREMIERES PRECISIONS.

Interview réalisée le 06/11/2002 à Paris
Durée 60 minutes


  Stéphane Bourgoin
Qui s’intéresse aux tueurs en série en France, qui connaît Stéphane Bourgoin. C’est donc naturellement que nous avons pris contact avec lui, en nous rendant à sa librairie, Le Troisième Œil. Il a été tout de suite intrigué et intéressé par notre histoire.

Stéphane Bourgoin nous a permis de faire la lumière sur plusieurs questions :

- Le spécialiste français des tueurs en série précise en premier lieu la définition du « snuff movie » : il s’agit d’un film produit dans un but lucratif et mis en scène, dans lequel une personne est tuée en direct. Cela implique l’existence d’un circuit de vente et de distribution. Jusqu’à maintenant, aucun service de police n’est parvenu à prouver la réalité de ces réseaux.

- Il nous a aidé à mieux comprendre le caractère dominateur de l’homme qui tient la caméra, en analysant les mécanismes complexes qui régissent ce type de personnalité.

- Il pense qu’un médecin légiste serait capable de déterminer s’il est possible ou non d’étrangler une personne avec une seule main, et si la strangulation entraîne obligatoirement ou non un écoulement nasal.

Un dérushage complet de cette séquence a été réalisé. Nous en publions un extrait au format Real sur le site (voir) (Site fermer)


PROCHAINS ETAPES

Liste des 3 prochaines interviews prévues :

- Le brocanteur de Saint Germain la Campagne nous a donné l’adresse d’une personne habitant dans la Manche. Il pense que c’est cet homme qui lui a probablement cédé nos sept bobines, il y a plusieurs mois en 2001.

- Nous prévoyons d’interviewer Sarah Finger, auteur de La Mort en Direct, Snuff Movies, spécialiste des snuffs movies en France.

- Nous prévoyons d’interviewer Jeremy Bouquin, réalisateur d’un film de fiction dénonçant le snuff movie, et actuellement en montage.

Rappel

Lors de mes fouinages dans les brocantes du nord de la France, je suis tomber sur une dixième de films super 8 ou apparaisse des familles heureuses d'une époque révolue. Une, deux, trois, quand, tout à coup, au milieux d'un film familiale, m’apparaît  des images inouï pour les 15 heures de mon salon, que faire, Je range tout puis, nous verrons plus tard...

Dans un silence d'attente, le repas du soir fut asser rapide, (vite) Je me lève par politesse je salut tout le monde, amies du soir bonsoir...


La société de production a récemment acquis sept bobines super 8 muettes utilisées et développées par un cinéaste amateur dans les années 70 (un expert de chez Kodak a confirmé qu’il s’agissait de films datant de ces années).

L’étrangeté du contenu de chacune d’entre elles a frappé et alerté la production : il s’agit de sept bobines sur lesquelles sont filmées des jeunes femmes. Certaines d’entre elles sont nues, parfois attachées. D’autres semblent victimes de viol, et l’une des bobines montre une femme étranglée.

Au-delà des images abominables et extrêmement réalistes de séances de viols et de strangulations, la personne qui filme montre une violence qui va crescendo. Imavision n’a pour l’instant aucune certitude quant à l’ordre dans lequel ces images ont été réalisées, mais cette violence démarre sur une simple prise de vue érotique, passe au viol puis au meurtre.

C’est pourquoi La société investi beaucoup de son temps dans cette investigation.
Qui est l’auteur de ces images ?
Est-il encore vivant ?
Les jeunes femmes que l’on aperçoit sont-elles mortes assassinées, ou s’agit-il d’une mise en scène morbide et déplacée ?

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